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28/11/2018

Dernière mise à jour : 13 déc. 2018



En gros ce que je raconte au format écrit :

J'ai lu un partenariat proposé par les éditions du Monde Premier, A rebours de Alix d'Angalie que j'avais découverte avec L'Edit d'Alambrisa, un titre Fantasy qui m'avait vu lui attribuer un coup de coeur. Ici nous sommes dans une romance historique se passant à Paris à la Belle Epoque. Nous allons suivre Jean Loiseau qui vit à l'opéra Garnier, ses parents étant des gens de l'ombre veillant à la mise en place des spectacles. Découvrir ce lieu mythique, ce que l'on ne peut voir caché derrière les rideaux m'a conquise, de la vie en continu, des croyances, moult personnes, une vraie richesse de l'ombre. A travers le journal intime de Jean, nous apprenons à connaître un petit garçon timide et étourdi d'abord puis la vie suivant son cours le voir grandir et apprendre que ce que l'on prenait pour un état de rêveur qui oublie du coup des choses n'est en réalité pas ça, en effet on lui diagnostique une amnésie qui prendra de plus en plus d'ampleur avec le temps. Cette maladie va le pousser à vivre différemment de tout un chacun, faire des choix désinvoltes, se laisser porter par ses envies dans le but de parvenir à atteindre ses souhaits d'avenir avant que son état n'empire trop et ne lui nuise totalement. On a la sensation d'une vie de bohème quelque part. Sa quête est de retrouver cette fille dont il est tombé amoureux enfant, qu'il a appelé Léa, une jeune danseuse qui a finalement décampé. Il est persuadé qu'elle a un rôle à jouer dans sa vie. J'ai vraiment été subjuguée par les soixante premiers pour cents, puis la maladie se précise, prend plus de la place et on se retrouve dans quelque chose donné par bribes, comme anecdotique et cela a malheureusement joué sur mes émotions vis à vis de Jean que je ne faisais plus que entrevoir. Cependant, ce procédé est justifié, il permet de notifier l'avancement de l'amnésie, de la souligner, et c'est très bien pensé même si j'aurais voulu plus de morceaux de la vie de Jean adulte et vieillissant. Cela a donc annihilé quelque peu ce côté touchant, doux, innocent que je percevais en lui. Je finis sur un très bon avis avec une beauté évidente, une ambiance offerte par l'opéra particulière qui embarque, un voyage initiatique avec cet être spécial qui va véhiculer moult émotions au lecteur et offrir cet aspect humain que je chéris tant dans mes lectures. Alix d'Angalie a un quelque chose qui m'appelle, j'ai donc bien envie de me pencher sur un autre de ses titres :

Les premières lignes du résumé : Déterminée à éclaircir le mystère de ses origines, Aza franchit une invisible Barrière séparant deux mondes qui jadis ne faisaient qu’un. Elle découvre ainsi un territoire depuis longtemps oublié, peuplé par l’un des derniers clans du peuple Fær. Devant sa témérité, les fæs décident de l’envoyer courir après un objet légendaire : le Peigne noir de Nibur.

J'ai débuté Les héritiers du mal de Chelsea Cain (tome 3) qui s'ouvre sur une scène de toilettes d'autoroute dégueulasse qui recèle des morceaux... Cette série met une scène une serial killeuse divinement diabolique, et un flic qu'elle a pris dans ses filets, qu'elle a marqué de par des tortures, et avec qui un lien particulier existe. Ici dans cet opus, on pense que Gretchen, notre méchante, est derrière cette découverte macabre. Quant à Archie, on le retrouve aussi rapidement et il n'est pas à fond les ballons.

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